Si vous pensez bénéficier des plus-values considérables, investir dans le vin est l’une des activités les plus prisées par bon nombre de personnes. Pour réussir, vous ne pouvez pas agir en solo. Contacter un intermédiaire en vin est incontournable. Ce professionnel est le seul individu capable à mettre votre argent en sécurité. Toutefois, évitez de collaborer avec les intermédiaires corrompus.
Conditions pour investir dans le vin légalement
Si vous voulez éviter le problème avec la loi, il est conseillé de contacter un intermédiaire agréé. Souvent, la personne qui veut devenir un vrai professionnel ne peut pas agir en sa convenance. Cependant, il est dans l’obligation de respecter les normes imposées par la loi en vigueur. En tant qu’investisseur, si vous constatez que le professionnel aille en contresens, il est recommandé de changer d’autre intermédiaire. Au cas où le professionnel en question ne répond pas à vos attentes, vous pouvez vous tourner vers l’intermédiaire qui propose des services en ligne. Si vous décidez d’adopter la plateforme, choisir la bonne est recommandable. Cela vous permet de sécuriser le capital que vous allez placer.
Malgré la pluralité des intermédiaires qui se lancent dans le domaine d’investissement du vin, vous aurez du mal à identifier le vrai professionnel du faux. Toutefois, si vous avez un doute sur la personne, il est judicieux de vous renseigner sur cette dernière. Outre ce procédé, vous pouvez également vérifier l’autorisation délivrée par l’AMF. S’il s’agit d’une plateforme, l’étape à suivre est la même. Sachez que si vous vous précipitez sur le choix d’un intermédiaire, cela peut coûter une petite fortune.
Les règlementations liées à l’intermédiation du vin
Depuis que l’investissement dans le vin a le vent en poupe, il existe de nombreux particuliers qui préfèrent faire fructifier leur capital dans ce domaine. En revanche, comme les intermédiaires qui exercent dans le cadre légal, il existe aussi des personnes peu scrupuleuses qui profitent des investisseurs qui sont novices en la matière. C’est la raison pour laquelle les légistes ont mis en place la loi Sapin du 9 décembre 2016. Cette dernière régule également les intermédiaires qui ont l’habitude de percevoir de pot-de-vin. Si une personne pense se lancer dans le domaine de l’intermédiation du vin, il est tenu d’honorer toutes les règlementations édictées dans l’article L550-1 du Code monétaire et financier.
- L’engagement de l’intermédiaire ne s’arrête pas sur la rédaction du document officiel. La loi l’oblige aussi à bien contrôler toutes les informations que contient ce dernier.
- S’il y a des erreurs ou omissions, le professionnel dispose encore du large temps pour les rectifier. Une fois la vérification faite, il peut ensuite présenter l’offre auprès de l’AMF.
- Au cas où l’autorité ne trouve pas de lacune sur le document promotionnel, il accorde immédiatement son accord à l’intermédiaire concerné.
- Si vous êtes convaincu que l’agrément vient vraiment du régulateur en charge de la délivrance, vous pouvez placer votre argent avec toute quiétude.
La durée de traitement de l’offre auprès de l’autorité compétente
Pour que les étapes en matière d’investissement dans le vin soient légales, il est conseillé de ne pas mettre la pression sur l’intermédiaire en charge de votre dossier. Dans le cas inverse, vous risquez de ne pas conclure un contrat, quel que soit le professionnel avec qui vous souhaitez collaborer. Chez l’AMF, la vérification du document se fait scrupuleusement. Cela, pour pouvoir identifier les éventuelles erreurs que peut commettre l’intermédiaire. Avant de délivrer l’autorisation d’exploitation, l’autorité a besoin de 60 jours pour déchiqueter votre cas. Cela tout en se référant aux directives stipulées par la loi. Une mauvaise foi de la part de l’intermédiaire entraîne de lourdes sanctions. Si tel est le cas, la loi lui oblige à vous payer des indemnisations. Il peut également être destitué de sa fonction au cas où il vous cause des soucis.